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Pour obtenir une copie de cette image à pleine résolution, cliquer sur l'image. Vous pouvez aussi la télécharger de la même manière (53 kB). Voir plus loin pour de plus amples données concernant cette carte. |
À noter que cette figure (ou son équivalent) a été publiée
cette nouvelle carte illustre un pas de plus par rapport à nos connaissances standard précédemment publiées en 1992 par Environnement Canada, rapport ARD-92-003 (J. Walmsley and R. Morris). L'anciene carte a une très faible résolution spatiale et est basée uniquement sur les observations du vent aux stations de surface. Il est à noter que les contours sont des valeurs de vitesse du vent, et non pas d'énergie éolienne. On peut voir la grande région de faible vitesse sur le bouclier canadien, se courbant autour de la Baie d'Hudson, semblable à notre carte au niveau 0 située plus haut.
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Cliquer sur la carte pour avoir une image à pleine résolution |
Notre nouveau projet, en utilisant le système WEST , a pour but de permettre une autre grande avancée par rapport à la carte obtenue à partir des archives des prévisions du CMC sur les 5 dernières années.
AVERTISSEMENT sur les grandes valeurs d'énergie éolienne sur les eaux ouvertes. Les grandes valeurs d'énergie éolienne sur l'Atlantique et le Pacifique obtenues par le modèle sont correctes en elles-mêmes, dans le sens qu'on devrait être capable de les vérifier avec les mesures de bouées ou de bateaux par exemple. Elles sont dépendantes de la formulation de la turbulence dans la couche limite utilisées dans le modèle numérique de prévision du temps. Des lectures additionnelles à ce sujet peuvent être trouvées dans la liste de reférences. De plus, des études sur les tempêtes marine basées sur ce modèle supportent aussi ces grandes valeurs. Il est à noter que l'énergie éolienne est proportionnelle au cube de de la vitesse du vent, résultant un contrast terre-mer exagéré.
Finalement, le plus important est de prendre connaissance que, à cause de la grossièreté de la maille du modèle (résolution horizontale de 25 km par exemple), la première cellule qui est vraiement sur l'eau ou sur la côte du modèle se situe à au moins 25 km de la ligne côtière géographique: c'est à dire 100% en dehors des limites des technologies actuelles de construction des fermes éoliennes.Ceci est démontré avec l'image suivantes. Sur cette image, les lignes côtières du modèle (lignes blanches) ont été tracées à la place des lignes côtières géographiques et les valeurs d'nergie éolienne (en couleur) en dehors des lignes côtières du modèle sont masquées. On peut voir de fortes valeurs d'énergie éolienne sur des terrains côtiers, comme prévu. Il est évident, sur cette image, que le modèle a "transformé" les îles côtières importantes (L'Île de Vancouver, Les Îles de la Madeleine et de Prince Edouard et la terres neuve par exemple) en pénisules.
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Donc, les valeurs d'énergie éolienne sur les eaux ouvertes produites par l'Atlas Niveau 0 ne sont pas supposées être utilisées comme bases pour des projets de ferme éolienne côtière.
La méthodologie appliquées pour le calcul de l'Atlas Niveau 0 peut être résumée ainsi: on utilise une extrapolation (du haut vers le bas) de l'écoulement d'air archivé des niveaux isobariques (de pression constante) au niveau d'élevation fixée (50 m, hauteur de turbine éolienne) par rapport à la topographie. Les niveaux proches de la surface dans les archives du CMC sont à 100, 92.5, 85, 70 hPa. Pour plus de details, cliquer ici.
L'ensemble des données accessibles (cliquer sur le lien en haut) inclut fichiers importable su Système d'Information Géographique (SIG, ou en anglais GIS, Geographical Information System) et des cartes digitales pour: